Les Français vivent actuellement drames et cauchemars à répétition. La crise, la dette poussent à grande vitesse le pays vers la banqueroute. Les impôts ont atteint un seuil d’intolérance. Notre industrie s’effrite et la France est vendue par petite morceaux en douce aux Wahabites et aux Qataris, sans que les médias trouvent les moyens de nous informer. L’invasion rampante d’un islam conquérant et plus qu’arrogant dans notre pays où ils se croient déjà les maîtres et se comportent comme tels, rend les Français malades.
Quant à l’Europe, elle n’est même plus pour eux, une planche de salut. Il y a plusieurs années, bien avant que l’idée du traité de Maëstricht ne prenne consistance, nous avions été conviés à un dîner-débat de décideurs européistes. Un grand silence s’installa parmi nos commensaux lorsque la Princesse posa LA question : « Quelle Europe désirez-vous construire, fédérale ou confédérale ? » Dans celle-ci, chaque Patrie conserverait son identité culturelle, ses spécificités et ses pouvoirs régaliens : la justice, la monnaie, la diplomatie et la Défense. Ce qui permettrait à l’Europe d’additionner ces multiples différences devenues un « en plus » pour tous. Un silence de plomb fut la réponse. Au point, qu’intimidée, la Princesse eut peur d’avoir prononcé une énorme bêtise incongrue face à ces « sages »...
Néanmoins, force est de constater l’échec de l’Europe de Maëstricht. Aujourd’hui, il est clair qu’une gouvernance tremblante de peur, de lâcheté devant l’abîme qui continue de se creuser, ne veut ni bouger ni écouter. Les Français de plus en plus nombreux constatent l’échec de l’Europe et la mort prévisible si nul ne prend la France à bras le corps. Il est inimaginable de penser que l’euro, cette monnaie que les experts voulaient commune, ait été lancée sans étude préalable approfondie, sans vision à long terme et sans véritable structure, à partir d’un néant subjectif et par une simple multiplication à données variables !... Comment ne pas s’étonner, alors, que, du jour au lendemain, le prix de la baguette de pain ait doublé et le reste à l’avenant ?
Il devient urgent de repenser l’Europe et la place de la France dans cette nouvelle confédération. Remettre les solutions aux calendes grecques serait compromettre définitivement le redressement de notre économie, car, au final, c’est la banqueroute qui nous attend. Ne nous comportons pas comme Gribouille qui, pour mettre à l’abri de la pluie ses habits neufs, ne trouva rien de mieux que de se mettre sous un pont au milieu d’un torrent furieux. Vendre nos industries, notre agriculture, nos terres au-delà des mers et des morceaux de France à l’Etranger, aux Wahabites , aux Qataris en leur permettant même d’acheter nos églises que l’on abandonne à la ruine pour justifier de les transformer en mosquée (plus de 1200 mosquées seraient ainsi érigées), cette mise à l’encan de notre patrimoine pourrait, un jour, être considéré comme haute trahison, une trahison irrémédiable car on ne dépèce pas la France, on ne tue pas sa spiritualité et toute la beauté qui en découle. Comment ne pas évoquer l’amour d’un grand nombre de Français pour leur région, leur terroir alors que les campagnes se désertifient au profit de mégalopoles sortes de tumeurs cancéreuses sur notre tissu social ?
(Photo : La Couronne)
Ces Français souffrent de la délocalisation de nos industries qui périclitent et pour conséquence des millions de Français vont grossir l’armée des chômeurs. Pleure, oh Pays bien aimé ! car je partage avec beaucoup de Français la quasi certitude qu’une volonté extérieure puissante, soutenue par des relais intérieurs, a la volonté de détruire la France éternelle, sa culture, son humanisme et ses valeurs ontologiques. On ne jette pas la France tel un kleenex déchiré.
Il est donc urgent de construire l’Europe confédérale, l’Europe des Patries telle que le Général de Gaulle en avait la vision avec Conrad Adenauer. Le premier pas devrait être de proposer les moyens de détricoter l’euro. De nombreux économistes ont des propositions concrètes à faire, des projets déjà formulés. Chaque pays, en conservant sa monnaie, pourrait retrouver une souplesse politique donc économique et financière pour relancer la croissance avec la possibilité de jouer sur le cours de la monnaie, encadrée au sein d’un serpent monétaire mais aussi en allégeant les charges insupportables des patrons d’industries de PME ou PMI qui aimeraient embaucher. Les Banques Centrales souveraines de chaque pays maintiendraient l’euro pour les échanges commerciaux extérieurs. Prenons exemple sur le pragmatisme de nos voisins Anglais qui ont conservé la souveraineté régalienne de leur monnaie, tout en étant partie prenante de l’Europe.
Le pragmatisme en politique donne de meilleurs résultats qu’une idéologie, toujours éloignée de la réalité et de ceux qui soufrent, qui peinent. Voudrait-on voir disparaître les pauvres, les chômeurs, les classes moyennes que l’on continue de matraquer fiscalement, que l’on prive de travail et bientôt des biens essentiels à la vie ? Pourtant au début de ce nouveau quinquennat plusieurs grands experts avaient fait parvenir à l’Elysée une sévère mise en garde accompagnée de propositions, de projets pour redresser la France et tenter d’arrêter cette terrifiante glissade vers l’abîme. Ce fut lettre morte et manifestement sans même avoir été lue. Certes le libre-échange, tel que vécu, totalement débridé face à la mondialisation incite au super enrichissement de ceux qui s’en sont déjà donné les moyens et à l’appauvrissement de ceux qui ont déjà été laissés pour compte. Du temps où, ce que l’on nommait le PLAN, existait encore notre économie et notre industrie se portaient mieux...
Si l’Europe des Patries trouve la volonté politique de se construire, avec pragmatisme, il conviendrait de protéger chaque pays et à fortiori l’Europe confédérale en rétablissant nos frontières respectives, nécessaires à notre économie, mais aussi afin de pouvoir juguler les invasions dont nous sommes victimes et principalement celle de l’islam tout en conservant le pouvoir et le devoir de renvoyer chez eux ceux qui profitent de notre sécurité sociale sans contrepartie de travail. Aujourd’hui les Français sont refusés à la porte des hôpitaux qui reste grande ouverte aux immigrés quels qu’ils soient, même sans papiers ni argent. Ce sont les contribuables Français qui en supportent le coût.
Parallèlement, la France devrait avoir une politique familiale favorisant la natalité des Français afin de résister à la pression démographique du Sud. Actuellement, le laxisme d’une politique des vases communicants est la cause principale de bien des maux. Tâchons de faire mentir Lénine qui disait : « L’Europe est un ventre mou qu’il faudra engrosser ». L’islam de la charia, actuellement, ne s’en prive déjà pas. Pour l’instant, la Commission Européenne de Bruxelles est semblable à ces gravures cauchemardesques du grand artiste Piranèse, fruit de la divagation mentale de fonctionnaires sans mandat électif, ou de lobbies de tout calibre, aussi nombreux que les puces sur un chien errant et des banques dont on ne distingue plus la vocation si ce n’est la loi du plus fort et celle de l’argent roi, laissant l’Homme nu dans un marécage.
Si j’écoute les vieux sages et les jeunes sages, il en existe encore en France, travailler pour construire une Europe confédérale ne leur semble pas une utopie. Il faut en avoir le courage, ce n’est pas ce qui manque aux Français. Cela permettrait de soulager notre voisin d’outre-Rhin, il ne serait plus seul à supporter le poids mal réparti d’une Europe en perdition. Prétendre vouloir idéologiquement faire le bonheur des peuples malgré eux autorisa Lénine puis Staline à tuer plus de trente millions d’individus.
La France est encore riche de possibilités, d’hommes et de femmes intelligents, capables, responsables : c’est à eux qu’il faudra s’adresser pour le présent et l’avenir.
Vivent la France et les Français.
Paroles d’Henri VII, Comte de Paris, Duc de France.
22 novembre 2013