Bienvenue sur le blog des royalistes de Provence, défenseurs de l'identité provençale et française, et militants de la cause monarchiste.
Le roi est mort; vive le roi!
Décès d'André Pertuzio, résistant royaliste de la première heure
Notre ami, camarade et compagnon André Pertuzio est décédé le 16 janvier 2019, à l'âge de 97 ans. Ancien président de la corpo de droit, co-organisateur de la manifestation du 11 novembre 1940, il fut parmi les étudiants royalistes qui défièrent les autorités allemandes et l'interdit de l'Etat français. André Pertuzio a présidé chaque 11 novembre, depuis 20 ans, la commémoration de l'Action Française en haut des champs Elysées. C'est un héros, c'est un résistant qui part rejoindre le Père. Qu'il repose en Paix.
André Pertuzio était Président des ANCIENS DU 11 NOVEMBRE 1040 :
Le 11 novembre 1940, les royalistes d’Action Française organisèrent, avec d’autres patriotes, la grande manifestation d’étudiants de l’Arc de triomphe. La jeunesse de France défia ce jour là l’occupant allemand, en colère contre la passivité de son peuple qui tolérait que la France fût à ce point abaissée. C'était la première manifestation de résistance contre les forces ennemies occupant Paris.
Les troupes d'occupation avaient bien entendu interdit toute commémoration de la victoire de 1918. Les étudiants et lycéens parisiens décidèrent d'en faire un symbole de résistance. L'initiative de la manifestation revient largement à la Corpo de droit, fondée en 1934, et largement pénétrée par les idées de l'Action française. Il y eut bien sûr d'autres nationaux, des gaullistes de la première heure, et même quelques communistes bravant les ordres du parti, mais les principaux animateurs de la manifestation, André Pertuzio, président de la Corpo, Alain Griotteray, Jean Ebstein-Langevin, vice-président de la Corpo, étaient issus de la mouvance royaliste.
Vers 17 h 30, plusieurs milliers de manifestants convergeaient donc vers l'Étoile. 155 d'entre eux furent incarcérés à la prison de la Santé, dont 19 étudiants et 93 lycéens : les jeunes avaient montré collectivement leur engagement précoce contre l'occupant. Dans la presse collaborationniste, celle de Doriot et de Déat, la manifestation fut largement dénoncée comme un coup des Camelots du Roi. Les traîtres ne s'étaient pas trompés…
Cette manifestation est commémorée par une plaque en haut des Champs-Elysées. En cette date anniversaire de l’Armistice de la Grande Guerre durant laquelle nos aïeux sont tombés pour défendre leur bien le plus précieux, leur patrie, nous poserons cette année encore un acte de piété filiale pour défendre notre héritage à l’image de nos devanciers de 14-18 comme de 40.
En 1940, les forces collaborationnistes ont arrêtés nos militants devant le Fouquet’s, aujourd’hui symbole de l’Etat Bling-bling, de la décadence sarkosyste, des élites méprisant le peuple, au nom de l’européisme et du mondialisme.
La jeunesse française d’Action Française, réunie autour de l’Association des Anciens du 11 Novembre 40, dépose chaque 11 novembre une gerbe sous la plaque commémorative, sise en haut des Champs-Elysées.
La cérémonie religieuse sera célébrée le mardi 22 janvier à 10h en l'église Saint-Sulpice (75006). L'inhumation aura lieu à 11h30 au cimetière de Thiais, dans la sépulture de famille.
Famille de France • Quand « L’Incorrect » évoque le Prince Jean de France face aux « débats » en cours
JEAN D’ORLÉANS S’ADRESSE
DE NOUVEAU
AUX FRANÇAIS
Descendant du dernier roi des Français, Jean d’Orléans est un des potentiels héritiers au trône de France, vacant depuis la chute de la monarchie en 1848. En adressant ses vœux aux Français par le biais d’un communiqué mis en ligne sur son site officiel, le prince se positionne dans le grand débat institutionnel qui s’amorce dans « l’Hexagone ».
Sa tribune publiée le 9 octobre dans le Figaro appelant « à rétablir la constitution dans la perspective tracée par de Gaulle », qui avait songé un temps à rétablir la monarchie, avait été saluée par les constitutionnalistes. Alors que la France est plongée dans une grave crise institutionnelle et sociale, avec le mouvement des gilets jaunes « qui cristallise toutes les fractures de notre société », le prince Jean d’Orléans pose les fondations d’un projet dont il dessine avec précaution les contours tout en gardant la hauteur que lui imposent son héritage et sa future charge, si le destin devait l’appeler un jour à ceindre la couronne de France.
Sur les réseaux sociaux, qu’il suit avec assiduité, les messages se sont multipliés ces derniers mois pour qu’il se montre aux Français et qu’il s’investisse plus dans le champ politique. Le prince est un homme de réflexion. Il entend suivre les pas de son grand-père, le comte de Paris, Henri d’Orléans avec lequel il partage les mêmes yeux bleus azurs. « Un prince doit rester indépendant : pour faire de la politique, il ne faut pas en faire…Il faut aussi prendre le temps d’écouter.
Il n’est pas nécessaire que j’intervienne à tout bout champ. Au contraire, mes propos auront d’autant plus de poids que je m’en tiendrai à l’essentiel (…). Pour beaucoup de nos compatriotes, les temps sont d’autant plus difficiles à vivre qu’ils ne savent pas où va la France. Les Français n’ont plus de repères. Il est donc de mon devoir de leur dire quels sont les miens (…). Ma passion, c’est la France !» déclare le prince Jean d’Orléans.
Le retour à la monarchie, une solution en ces temps troublés ? « Notre pays doit affronter depuis plusieurs années une profonde crise de structures. Malaise social, crise économique, mais crise aussi de nos institutions (…) qui s’expliquent par la tentation de nos gouvernants d’abandonner à l’Europe la direction de nos affaires.
Bon nombre de Français s’interrogent (…) et si les Français se posent ces questions (et je sais qu’ils le font), s’ils s’inquiètent pour la France (et les nombreuses alternances que nous connaissons depuis un quart de siècle en sont un indice), alors je crois qu’ils viendront, tout naturellement, à peser dans leur réflexion, les avantages d’un régime, la monarchie qui vise à garantir l’indépendance, la stabilité et l’équité du pouvoir suprême » affirme le duc de Vendôme, titre de courtoisie qu’il a reçu en 1987, et qui confessait encore récemment, sur les ondes de la radio Europe 1, son admiration pour la monarchie constitutionnelle espagnole.
« Croyez-moi, la monarchie est une idée neuve en Europe » surenchérit-il avec humour mais toujours avec le sérieux qui le caractérise comme on a pu l’apercevoir cette année sur la chaîne de télévision France 2, lors d’une émission consacrée au monarchisme et pour laquelle il avait été brièvement interrogé.
« La monarchie, c’est un prince dont l’arbitrage est admis par tous, n’étant l‘homme d’aucun camp, il ne peut être soupçonné de favoriser l’un au détriment de l’autre (…). La monarchie, enfin, c’est un rapport direct-personnel, entre le roi et le peuple. Ce lien s’établit entre autres, grâce au référendum, dont l’usage malheureusement se perd, comme si l’on craignait que le peuple ne déjuge celui qu’il a élu ».
Drapé dans l’héritage capétien de Saint-Louis, ce père de 5 enfants a déjà tracé les lignes d’un début de programme, à travers un livre-entretien paru en 2004, intitulé Jean de France, un prince français, évoquant tous les sujets dans lesquels il est investi tels que l’éducation, la justice, la foi, la culture, l’économie, la politique étrangère, la défense nationale ou encore celui des institutions.
Dans ses vœux aux Français, le prince Jean d’Orléans semble s’afficher indubitablement comme un prétendant naturel, en arbitre crédible à l’heure où le peuple se cherche une authentique figure sacrée à laquelle se rattacher. ■
d'après LFAR
Ce qu'il faut écrire dans les cahiers de doléances
Nous vous conseillons de vous servir de ce texte trouvé dans un cahier de doléances du 7eme arrondissement de Paris:
« Il faut un roi. La nation a besoin d’une incarnation enracinée dans le temps et au-dessus des partis. Les élections présidentielles tous les cinq ans coûtent et divisent les Français. Le chef de l’Etat doit incarner l’union au-delà des clivages. C’est donc un roi qu’il faut pour cela. ».
Le Prince Jean: voeux pour une France apaisée
En ce début d’année, je souhaiterais vous adresser tous mes voeux pour 2019.
Je ne reviendrai pas sur l’année difficile que notre pays vient d’avoir avec, comme je l’ai écrit dans mon dernier message, un mouvement des gilets jaunes qui cristallise toutes les fractures de notre société mais avec des Françaises et des Français qui restent, me semble-t-il, demandeurs d’un projet social commun sur un socle partagé.
J’aimerais donner à tout cela de la perspective, en évoquant trois principes qui sont essentiels à la poursuite d’un bien commun social : la paix, la justice et l’autorité.
La paix – on pourrait dire la concorde – c’est l’effet. Sans paix sociale, sans relations apaisées entre les différentes composantes de notre société, nous ne pouvons avancer. Pour cela nous devons changer de philosophie politique et passer de cette volonté de satisfaire les désirs individuels à une vraie recherche du bien commun en mettant en avant, dans la relation sociale, la confiance et non la défiance comme c’est trop souvent le cas aujourd’hui.
La justice c’est la première condition. Sans justice, notamment à l’égard des plus démunis, pas de paix possible, car il y aura toujours le sentiment d’être lésé. Pour y arriver il faut pouvoir s’appuyer sur des règles simples comprises par tous. Le millefeuille de nos lois et règlements est certainement pour beaucoup dans le rejet des réformes nécessaires.
L’autorité, c’est la deuxième condition. Sans autorité, pas de saine dynamique qui fait avancer les choses. La notion de service doit être remise à l’honneur, le respect des libertés individuelles et publiques doit permettre aux corps intermédiaires d’agir en subsidiarité. Il faut donner au chef de l’Etat un autre rythme institutionnel pour qu’il puisse travailler dans la continuité aux réformes de fond, et cela, sans autoritarisme.
Voilà quelques principes qui permettraient à notre pays d’avancer vers la paix sociale nécessaire, avec plus de justice à l’égard des Françaises et des Français et avec un Etat qui a retrouvé son autorité. Espérance !
Bonne et nouvelle année à vous tous, vos familles et vos proches.
Un 21 janvier très important à Marseille
Les jeunes royalistes se forment à Aix comme à Marseille
Le 15 et le 16 janvier, deux cercles d'études pour les jeunes royalistes.